Remember Paulina!
Aujourd’hui on en est à environ 1 million d’ukrainiens et centaines de mercenaires étrangers à avoir perdu la vie pour les beaux yeux de l’Empire US qui entend démembrer la Russie pour s’emparer des richesses de son immense territoire. Mais celà ne se passe pas comme prèvu pour les éternels impérialistes de Washington, avec ses 750 bases sur la planète, et leurs obligés de l’Otan avec ses va sots si dociles de l’UE. Cette dernière est d’ailleurs justement traitée par Medvedev de “vieille femme méchante et stupide”.
Ils pensaient avoir réalisé l’essentiel en faisant dans un premier temps éclater l’URSS conduisant la Russie au bord de la famine pour la faire plier, et en aidant à installer à sa tête un alcoolo…et même (selon la gôche comprise) par des “révolutions” s’appuyant sur des bandes nazis et troubles “spontanés” pour établir les “droits de l’homme” comme en ce fut le cas “pacifiquement” en Ukraine…en matière de droit de l’homme la langue russe causée par une majorité d’ukrainiens fut pourtant interdite à la différence d’autres comme le hongrois parlé dans le sud-ouest du Pays, allez savoir pourquoi une seule à l’index! et interdiction de pratiquer le culte orthodoxe et des églises cramées avec la bénédiction des “autorités” “démocratiques” et droits de l’hommiste…et le travail de sape continue: Roumanie, Georgie, Moldavie…et toujours plus de bases pour encercler la Russie, y compris maintenant en Norvège au delà du cercle polaire!
Et puis les “démocrates”, dont tte la gôche, depuis la “radicale” à la réformiste totalement otanisée qui fait repasser à satiété le disque “faire barrage”, n’a toujours rien vu: aucun nazi en Ukraine! à la limite des “nationalistes” si sympa et propres sur eux…et elle ne tousse même pas avec tout le pognon qui part chez le Zélinsky. Et ce alors que des gamin(e)s dorment sur les trottoirs des agglo., sans doute est-elle absorbée par la prépa. de la prochaine motion de censure…Pouchkine ce sale russe (après d’autres dont les écrits sont même reconvertis en papier hygiénique) est lui aussi démoli à la pioche sur décision de la municipalité d’Odessa, et çà regarde ailleurs…et etc…aucun murmure pour vouloir sortir de l’Otan comme d’ailleurs chez les Le Pen érigés en abomination suprême depuis l’ex-franciscain Mythérrant…
Les horreurs commises au Donbass me bouleversent et me révulsent chaque jour depuis 10 ans, comme aujourd’hui en Palestine, on se sent tellement impuissant ! d’autant qu’ il y en a qui ont l’indignation sélective quand il s’agit de dénoncer Uncle Sam! et le bouquet: tout le beau monde siégeant au Palais-bourre-bon avait applaudi Zelinsky faisant référence à son “héros national” Bandera pour ses voeux 2024 retransmis! (sauf Dupont-Aignan s’éclipsant)
Jaures au secours! Il est vrai que l’on n’apprend plus l’Histoire nul part…alors quand elle revient à l’insu de son plein gré…
Ah! j’allais oublier: il faudrait faire une pétition pour l’intégration de Monsieur Kouchner au nouveau gouvernement; il manque et c’est dommage un Ministre des Droits de l’Homme aussi compétent et exemplaire quant aux “valeurs occidentales” (voir ci-après le lien). Il avait fait largement ses preuves au Kosovo dans les années 2000.
Pierre Peuch
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🇷🇺 La photo montre le premier enfant à mourir dans l’histoire de la guerre dans le Donbass. Polina Sladkaya, 6 ans, est morte le 8 juin 2014 à Semenovka, une banlieue de Slaviansk. Elle a succombé aux tirs d’artillerie de l’armée ukrainienne, principalement à partir de canons D-20 situés sur le mont Karachun. La fillette a été blessée à plusieurs reprises par des éclats d’obus dans l’abdomen. Son corps a été transporté hors des lieux par le médecin Mikhaïl Kovalenko, qui a récupéré l’enfant morte des mains d’un milicien qui l’a sortie des décombres. Il a sorti son téléphone et a pris une photo de l’enfant morte dans les bras de Mikhaïl. Lorsque le médecin a demandé : « Pourquoi ? », le camarade a répondu : « Pour que le monde puisse voir ce qu’ils font à Slaviansk. » La photo a fait le tour du monde, mais à la lumière de la guerre de l’information, elle n’est pas passée à travers le filtre des médias occidentaux et n’a pas été diffusée sur les chaînes d’État.
[27/12/2024 17:38]
PAS DE NAZISME EN UKRAINE ?
Comme chaque année depuis 2015, la période de fin d’année est l’occasion pour le Bandéristan de glorifier son passé nazi à travers le personnage de Stéphanie Bandera né un 1er janvier 1909 et qui a marqué l’histoire européenne par une des collaborations les plus criminelles et violentes avec le nazisme (au point d’être même sanctionné par Hitler lui-même)
Nombre d’historiens estiment entre 600 et 800 000 le nombre de victimes directes des pogroms, massacres, exécutions sommaires et crimes de guerre réalisées par les milices, polices, paramilitaires et divisions Waffen SS ukrainiennes pendant la guerre et qui toutes se réclamaient de l’idéologie nationaliste de Bandera.
A Slaviansk, berceau de la rébellion armée anti-Maïdan du Donbass et encore occupé par les forces ukro-atlantistes, les ukro-atlantistes viennent d’inonder la ville d’affiches à la gloire de ce criminel nazi notoire.
Entre une idéologie à l’agonie procédant à une fuite en avant fanatique et une provocation russophobe vis à vis d’une population dont la libération approche, les bandéristes sûrs de leurs soutiens occidentaux pro-nazis revendiquent haut et fort leur filiation nazie.
Ainsi peut-on lire sur les affiches glorifiant le criminel Bandera désigné comme “le guide” : “Le sang des héros bat en vous”, dans une folie nazie complètement décomplexée qui ose prétendre que “le Donbass félicite” Bandera alors que sa population se bat depuis plus de 10 ans contre la résurgence de son idéologie criminelle contre qui une seule justice doit être appliquée : celle de l’unité secrète “Smerch” du contre espionnage soviétique (et qu’il serait temps de réactiver) qui était allé exécuter ce collabo un 15 octobre 1959 à Munich.
Pour un aperçu sur les crimes de Bandera et de ceux qui s’en réclament, un rappel chronologique ici (https://www.mid.ru/ru/foreign_policy/istoricheskie_materialy/1904942/?lang=fr)
Alawata
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