…ou quand ” l’État n’est pas là pour notre Bien..”
Comment ne pas relayer avec joie cette magnifique diatribe de notre ami de lutte et voisin corrézien, Mehdi Belhaj Kacem. La division du philosophe d’avec son ancien mentor, le non moins philosophe Alain Badiou n’en est que plus prégnante en cette actualité de désastre covidien et cette réalité de fin de cycles. Cette fois la virulence des propos accusatoires de Mehdi Belhaj Kacem envers Alain Badiou se veut réponse au délit de complicité qu’exprime Alain Badiou au travers de Remarques sur la désorientation du monde et que Mehdi Belhaj Kacem ne veut laisser passer sans mots dire (maudire ? non, même s’il s’agit bien là d’un combat à la mort à la vie tant les enjeux actuels sont cruciaux : « Tous les fascismes du vingtième siècle, de droite comme de gauche, ne sont, à cette lumière, que de la très petite bière, par rapport à celui qui aura essayé de se mettre en place depuis deux ans, avec votre très complaisant assentiment. Je vous le répète, très cher Badiou : pour la postérité, ça ne pardonnera pas, et même dans l’avenir le plus immédiat.» p34 ).
A. Badiou, complice par les mots et les concepts, qui trahissent une complaisance avec le système perverti révélé comme à son paroxysme, à travers cette gestion dite « sanitaire » de la pseudo pandémie covid19.
Ces mots complices d’A. Badiou sont mots de trop pour M.Belhaj Kacem qui rebondit et met en pièces les propos du « traitre ». Rien ne lui sera épargné et du même coup rien non plus ne sera épargné à ce système dictatorial et totalitaire qui se met inéluctablement en place.
Cette puissante analyse ne peut laisser indifférent.
Nous vous laissons savourer ces propos qui pour notre plus grand enthousiasme sont autant jubilatoires que nourriture pour la route…
-Texte de Mehdi Belhaj-Kacem : /pdf/remarques_sur_la_desorientation_dalain_badiou_et_des_intellectuels_en_general.pdf_
-Publié dans France Soir : https://www.francesoir.fr/culture-livres/mehdi-belhaj-kacem-alain-badiou