Fin Octobre 2021, le New England Journal of Medicine a, finalement, admis que l’étude originelle – publiée le 14 octobre par Shimabukuro et. al (https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMx210016?query=recirc_curatedRelated_article) – ayant servi de support à la campagne de vaccination CoqueVide du CDC et de la FDA, ciblant les femmes enceintes, était corrompue.
Contre-étude très probante
Depuis lors, des chercheurs de Nouvelle-Zélande ont réalisé une étude correctrice qui met en exergue qu’il s’agit bien d’un génocide vaccinal. Leur étude correctrice est intitulée “Spontaneous Abortions and Policies on COVID-19 mRNA Vaccine Use During Pregnancy”.
En effet, selon les auteurs : « Une nouvelle analyse de ces données indique une incidence cumulative d’avortements spontanés de l’ordre de 82% (104/127) à 91% (104/114) – à savoir de 7 à 8 fois plus que ce présentent les résultats originaux des auteurs de l’étude ».
➡️http://xochipelli.fr/2021/12/nouvelles-des-brigades-anti-graphene-decembre-2021/#020912
New England Journal of Medicine (https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMx210016?query=recirc_curatedRelated_article)
Preliminary Findings of mRNA Covid-19 Vaccine Safety in Pregnant Persons | NEJM
Correction from The New England Journal of Medicine — Preliminary Findings of mRNA Covid-19
L’étude de Nouvelle Zélande
Traduction de la conclusion de l’étude
Nous remettons en question les conclusions de l’étude de Shimabukuro et al.[4] pour soutenir l’utilisation du vaccin à ARNm en début de grossesse, qui a maintenant été hâtivement incorporée dans de nombreuses directives internationales pour l’utilisation du vaccin, y compris en Nouvelle-Zélande[1].
L’hypothèse selon laquelle l’exposition dans la cohorte du troisième trimestre est représentative de l’effet de l’exposition tout au long de la grossesse est discutable et ignore l’expérience passée avec des médicaments tels que la thalidomide[38].
La preuve de l’innocuité du produit lorsqu’il est utilisé au cours des premier et deuxième trimestres ne peut être établie tant que ces cohortes n’ont pas été suivies au moins jusqu’à la période périnatale ou que l’innocuité à long terme n’a pas été déterminée pour les bébés nés de mères inoculées pendant la grossesse.
De plus, le fabricant du produit, Pfizer, contredit ces assurances en déclarant :
” les données disponibles sur Comirnaty administré aux femmes enceintes sont insuffisantes pour informer des risques associés au vaccin pendant la grossesse “, et ” on ne sait pas si Comirnaty est excrété dans le lait maternel ” car ” les données ne sont pas disponibles pour évaluer les effets de Comirnaty sur le nourrisson allaité ” (page 14)[39].
En raison de la nature du déploiement du vaccin à ARNm, les prestataires de soins de santé doivent signaler tout problème survenant pendant la grossesse afin de déterminer plus précisément la sécurité de ce produit. Il convient de faire preuve de prudence lors de l’administration de vaccins pendant la grossesse, comme l’indique l’association possible entre l’exposition à des vaccins contre la grippe contenant du H1N1pdm09 (2010-11 et 2011-12) et l’avortement spontané[40].
Compte tenu des preuves présentées ici, nous suggérons le retrait immédiat de l’utilisation des vaccins à ARNm chez les femmes enceintes (catégorie X)[41] et celles qui allaitent, parallèlement au retrait des vaccins à ARNm chez les enfants ou les personnes en âge de procréer dans la population générale, jusqu’à ce que des données plus convaincantes concernant la sécurité et les impacts à long terme sur la fertilité, la grossesse et la reproduction soient établies dans ces groupes.
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