Un des intérêt de cette proposition au Parlement Européen est d’officialiser en partie l’ampleur des effets constatés de dégradation de la santé, parfois irréversible, parfois mortelle et imprévisible.
L’autre intérêt est d’officialiser les lacunes en matière de responsabilité et de prise en charge financière par les fabricants de ces injections.
La puissance de la banalisation du mensonge s’effrite.
Proposition de résolution du Parlement européen sur la création d’un Fonds européen d’indemnisation des victimes des «vaccins contre la COVID-19»
environ un million de cas d’effets indésirables suite aux injections
Le Parlement européen,
– vu l’article 143 de son règlement intérieur,
A. considérant que l’Agence européenne du médicament répertorie déjà environ un million de cas d’effets indésirables suite à l’injection de vaccins contre la COVID-19:
– 435 779 pour le vaccin Pfizer BioNTech,
– 373 285 pour le vaccin AstraZeneca,
– 117 243 pour le vaccin Moderna,
– 27 694 pour le vaccin Janssen[1];
B. considérant que ces effets indésirables sont parfois sévères; considérant qu’ainsi, environ 75 000 personnes auraient souffert d’effets neurologiques sérieux après le vaccin Pfizer;
C. considérant que l’Agence européenne des médicaments affirme que les vaccins contre la COVID-19 ont eu, dans l’Union européenne, une issue fatale pour environ 5 000 personnes:
– 4 198 pour celui de Pfizer[2],
– 1 053 pour celui d’AstraZeneca,
– 392 pour le vaccin Moderna,
– 138 pour le vaccin Janssen;
D. considérant que la Commission européenne a négocié les contrats d’achat et qu’elle n’a pas souhaité que les laboratoires pharmaceutiques engagent leur responsabilité; considérant que les députés européens n’ont pas eu accès aux contrats pendant les négociations;
1. demande à la Commission de créer un fonds d’indemnisation pour les victimes des vaccins contre la COVID-19;
2. charge son Président de transmettre la présente résolution à la Commission et aux États membres.