Le film “Sound of Freedom”
Il faut que le monde entier sache ce qui se passe maintenant et sauver ces enfants
Sound of Freedom est un film d’action américain réalisé et coécrit par Alejandro Monteverde en 2023, avec Jim Caviezel, Mira Sorvino et Bill Camp. Caviezel joue le rôle de Tim Ballard, un ancien agent du gouvernement qui se lance dans une mission pour sauver des enfants de trafiquants sexuels en Colombie[3]. Le film est produit par Eduardo Verastegui, qui joue également un rôle dans le film.
Le film est basé sur une “histoire vraie”, celle de Tim Ballard, un ancien agent américain de la sécurité intérieure dont le métier consiste à lutter contre le trafic sexuel d’enfants. Un jour, il quitte son emploi pour consacrer sa vie à sauver des enfants contre les trafiquants sexuels. Et le synopsis du film est simplissime: “après avoir sauvé un jeune garçon d’impitoyables trafiquants d’enfants en Amérique du Sud, un agent fédéral apprend que la sœur du garçon est toujours captive et décide de la sauver aussi”.
Le film est produit par Angel Studios, une société de productions américaine et réalisé par Alejandro Monteverde. Il met en scène Jim Caviezel, qu’on a aussi vu dans le film de Mel Gibson “La Passion du Christ” et Mia Sorvino, qui joue le rôle de Katharine, sa femme.
L’écriture du scénario a démarré il y a huit ans, en 2015. Une division de la société Fox conclut en 2018, un accord pour le sortir en Amérique du Sud, mais la société est rachetée par Disney, l’année suivante. La firme Disney est alors accusée de l’avoir remisé au placard pour “cacher la vérité” sur des trafics d’enfants en vue de les exploiter sexuellement. Du côté de Disney, on explique que le “compte tenu de la nature internationale du projet, la partie studio de la société n’avait aucune connaissance du film”.
Une fois le tournage achevé, les producteurs ont expliqué avoir tenté de trouver un accord avec des distributeurs, et des services de streaming: chou blanc. Le film reste dans les cartons. En mars dernier, un accord est conclu et le film peut sortir en salles aux Etats-Unis. Le thriller est vendu comme un film “conservateur”, “basé sur la foi”. D’ailleurs, l’un des slogans du film est sans équivoque sur la foi: “Les enfants de Dieu ne sont pas à vendre”.
Mel Gibson a fait la promotion de ce film, encourageant les Américains à aller le voir. Une vidéo reprise par certains internautes, adeptes de ces théories. “Mel Gibson fait la promotion du film “Sound Of Freedom qui sort dans les salles de cinéma américaines le 4 juillet. Ce film expose le mal que les élites font aux enfants, et la planète entière va devoir le visionner”, peut-on lire par exemple. Ou encore: “Ici,en France🇫🇷,nous sommes tenus informés depuis 1 moment déjà, notamment par Twitter/Telegram, mais c’est le GRAND SILENCE DANS LES MÉDIAS MAINSTREAM…
Le film est sorti le 4 juillet 2023 chez Angel Studios. Il a reçu des critiques généralement positives et a été un succès surprise au box-office[4], rapportant 40 millions de dollars dans le monde entier, attirant plus de spectateurs que la dernière aventure d’Indiana Jones
Il faut abolir le trafic d’enfants ! | Idriss Aberkane avec Karl Zero
Des pseudojournalistes criminels nous ont fait croire pendant vingt ans que l’horreur de l’affaire Epstein n’était qu’une fumeuse “théorie du complot”, de même de toute idée qu’il y eût dans le monde des réseaux puissants et organisés consacrés entièrement au trafic le plus immonde, le plus sordide et le plus abominable qui soit: celui des enfants. Las! Si le vrai journaliste doit se faire appeler complotiste, qu’il en soit ainsi, et que ce titre soit aujourd’hui le plus noble, le plus héroïque et le plus courageux qui soit!
D’une part l’Université de Stanford et le Wall Street Journal viennent de révéler l’existence d’un réseau pédocriminel massif sur Instagram, dans lequel les enfants, réduits à l’état de marchandises, étaient appelés des “pizzas” – ce qui n’est pas sans rappeler une autre “théorie du complot” tant fustigée par les criminels pseudojournalistes qui se reconnaîtront par delà leur honte.
D’autre part Mel Gibson vient de sortir, après avoir passé de très nombreux obstacles aussi suspects qu’insensés, un film choc tiré de l’histoire vraie du héros anti-pédocriminalité Tim Ballard. Si ce film censuré de partout a dépassé les scores du dernier (et pitoyable) Indiana Jones, la réaction des Média de Grand Chemin est à vomir: du Guardian à CNN en passant par la BBC, on est prompt à disqualifier ce courageux ouvrage cinématographique de “théorie du complot Qanoniste”. Le trafic international d’enfants est bien réel, il bénéficie bien à des réseaux extrêmement puissants, comme nous le rappelle Karl Zéro qui lutte contre lui depuis dix ans.
Karl Zero est le créateur d’une démarche qui s’appelle 1 sur 5 (un enfant sur 5 victime d’inceste)