Un rapport confidentiel de Pfizer -dont la cour suprême des USA a exigé la publication- révèle des MILLIERS d’EFFETS SECONDAIRES potentiels. Ils savaient !

Pendant que tous les yeux sont tournés vers l’Ukraine et vers l’élection présidentielle, la liste de tous les effets secondaires (ES) attendus par Pfizer donne le tournis : pas moins de neuf pages (pages 30-38) estampillées CONFIDENTIAL révèlent un inventaire -bien loin de celui du merveilleux Prévert- de tous les risques prévus comme suite à la « vaccination » Comirnaty BioNtech-Pfizer. Plus de mille, classés par ordre alphabétique et simplement séparés par un point virgule ! Une sobriété glaçante ! Et cela ne concerne que les injections Pfizer !

Deux pages seulement pour prendre la mesure…

Rappelons les faits :

La justice américaine ordonne à la FDA de déclassifier les données du vaccin Pfizer

Aux États-Unis, invoquant le Freedom of Information Act, un groupe d’une trentaine de professeurs et scientifiques de prestigieuses universités comme Yale ou Harvard réclame en septembre 2021 d’accéder aux documents sur lesquels s’est fondée l’administration américaine pour autoriser la commercialisation du vaccin Pfizer contre le Covid-19. Le 15 novembre 2021, les avocats de la Food and Drug Administration (FDA) demandent au juge fédéral de lui donner jusqu’en 2076 pour divulguer l’intégralité des documents en sa possession liés à l’approbation du vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech. Dans une décision rendue le 6 janvier 2022, le juge Mark Pittman ordonne à la FDA d’accélérer sa réponse à une demande de transparence formulée par l’Organisation Public Health and Medical Professionnal for Transparency, un groupe de médecins et scientifiques de renom, puisqu’on y trouve notamment les professeurs d’épidémiologie Peter McCullough et Harvey Risch.

Désormais, l’agence n’a plus 75 ans (comme elle le demandait), mais huit mois pour déclassifier l’ensemble des données sur la sécurité du “vaccin” Pfizer, dont l’intégralité devrait être publiée avant la fin de l’été 2022, ce que conteste la FDA arguant du fait du risque de dévoilement “inapproprié” de secrets commerciaux et d’informations commerciales confidentielles.

Ce document de 38 pages lève un peu le voile sur la réalité d’une injection mise au point à la hâte.

D’autres affaires ont déjà jeté l’opprobre sur Pfizer :

“PfizerGate” ? Révélations sur des essais cliniques falsifiés par le triptyque Pfizer – Ventavia – FDA

Le British Medical Journal vient de révéler des fraudes dans le cadre des essais cliniques du vaccin Pfizer. Cette revue médicale respectée outre Atlantique, met en cause le laboratoire pharmaceutique américain, son sous-traitant la société Ventavia Research Group , mais aussi la FDA, l’Agence du Médicament américaine.

Zoom sur les anomalies observées

L’affaire commence en 2020, lorsque Pfizer a voulu produire dans le plus bref délai un vaccin qui permettrait de lutter efficacement contre le coronavirus. Pour cela, le laboratoire américain a fait appel à plusieurs sous-traitants pour réaliser des essais cliniques à grande échelle. Ils concernaient notamment 43.548 personnes réparties sur 153 sites dans le monde. Une entreprise nommée Ventavia, basée au Texas, faisait partie des sous-traitants de Pfizer.

Selon les données recueillies par le journaliste d’investigation Paul D Thacker, plusieurs anomalies auraient été constatées dans la réalisation des essais. On cite entre autres le non-respect du principe du “double-aveugle”: on ne sait pas qui reçoit le produit et qui reçoit le placebo. En l’occurrence, les chercheurs auraient su quels participants à l’étude avaient reçu le vaccin et lesquels étaient traités avec le placebo.

L’enquête cite aussi la dissimulation d’effets indésirables graves. Selon la directrice régionale de Ventavia, Brook Jackson, plusieurs individus auraient signalé des problèmes graves liés à la vaccination, mais ils n’auraient jamais été recontactés. Il faudrait ajouter au lot l’absence de tests PCR chez les patients vaccinés ainsi que des erreurs de manipulation des vaccins et des matériels utilisés.

Hormis Mme Jackson qui a d’ailleurs perdu son emploi, d’autres anciens employés de Ventavia ont témoigné sur l’existence des fraudes et malfaçons pratiquées au sein de la société.

L’Agence du Médicament américaine a-t-elle fermé les yeux? 

Selon la révélation-choc de British Medical Journal, l’agence de santé américaine serait impliquée dans cette affaire. A priori, la lanceuse d’alerte Brook Jackson aurait déjà envoyé à la FDA une lettre indiquant les fraudes et anomalies qui se déroulaient chez Ventavia.

Elle a ensuite reçu un courriel de l’agence qui l’informait qu’elle n’était pas en droit de « faire des commentaires sur une éventuelle enquête ». Or, quelques semaines plus tard, le vaccin Pfizer avait déjà obtenu le feu vert de la FDA…

Plus récemment :

Essais Pfizer sur le vaccin anti-covid : le rapport explosif de Christine Cotton

Le  travail de cette biostatisticienne a consisté à réaliser une évaluation des pratiques méthodologiques mises en œuvre dans les essais Pfizer pour le développement de son vaccin ARN messager contre la Covid-19, au regard des bonnes pratiques cliniques. Pour ce faire, elle a examiné tous les documents du laboratoire Pfizer enregistrés auprès des autorités américaines et européennes, ce qui comprend les protocoles, les rapports cliniques et les différents plans de gestion de risque. Un travail qui consiste essentiellement à repérer et déterminer les biais, c’est-à-dire des éléments susceptibles de faire dévier les résultats de leur vraie valeur.

Elle démontre que les résultats annoncés par le géant pharmaceutique, ne peuvent être considérés comme “fiables” et “intègres” au regard des bonnes pratiques cliniques.

La balance bénéfice/risque s’établit d’un côté par les bénéfices attendus en matière d’efficacité et d’immunogénicité, et les risques associés par les effets indésirables d’autre part.  Sur le tableau de bord ci-dessous, les voyants étaient à l’orange ou au rouge, ce qui aurait dû entrainer une demande d’informations complémentaires au fabricant.

La Haute Autorité de Santé avait bien indiqué certains de ces risques. Des avertissements qui auraient dû alerter le gouvernement, qui lui-même n’aurait pas dû ouvrir une vaccination dans la précipitation.

Sa conclusion est sans appel : compte tenu de tous les biais et des informations toujours manquantes, elle demande la suspension en urgence de toute vaccination par Comirnaty, non seulement pour les populations sur lesquelles il n’y a aucune information à ce jour, mais également pour l’ensemble de la population, en attendant les explications du laboratoire Pfizer sur le choix de son plan d’essai, de ses méthodes d’évaluation ou encore sur l’algorithme d’efficacité.

Sur l’efficacité, elle montre que le récit que l’on a vendu aux Français ne reposait sur aucune réalité. En effet, toute la communication qui visait à promouvoir la « vaccination » avec l’argument qu’elle freine la transmission, n’était étayée par aucun résultat dans l’essai clinique. Il n’y avait pas non plus d’efficacité démontrée sur les formes graves. En écrivant le 23 décembre 2020 que le vaccin « était sans impact sur la transmission » et que « la vaccination des individus les plus jeunes de 18-49 ans ne conduit qu’à très faiblement réduire le nombre de décès pour un vaccin de ce type », la Haute Autorité de Santé (HAS) apportait des conclusions très éloignées du discours des autorités qui ont choisi de prendre des risques en passant outre. 

Sur l’immunogénicité, qui est la mesure de l’action d’un vaccin et son action dans le temps, la réalité ne correspond pas non plus au récit du gouvernement puisque la durée de protection était inconnue. De plus, Christine Cotton fait remarquer que dès décembre 2020 la HAS savait qu’il y avait une étude sur un booster. Par conséquent, tout le message de communication sur le vaccin, le « prenez deux doses et vous retrouverez votre liberté », reposait sur des mensonges et devrait par conséquent être condamné.

Sur la tolérance, la limitation du suivi à deux mois rend difficile l’évaluation des effets secondaires. La biostatisticienne fait remarquer qu’une fois encore les autorités réglementaires auraient pu et dû alerter les politiques des risques de leur choix en matière vaccinale.

À ces inconnues déjà très nombreuses viennent s’ajouter des informations capitales manquantes, puisque de l’aveu même du laboratoire, il n’existe aucune donnée sur l’utilisation pendant la grossesse et l’allaitement, sur les patients immunodéprimés ou présentant des comorbidités. Aucune information non plus sur les interactions avec d’autres vaccins et sur la sécurité à long terme.

Or, parmi les premiers rapports remis par Pfizer figure une « Cumulative Analysis of Post-authorization Adverse Event Reports » [« Analyse cumulative des rapports d’événements indésirables post-autorisation »] décrivant les événements signalés à Pfizer jusqu’en février 2021. Ce rapport révèle que le géant pharmaceutique a reçu plus de 150 000 rapports d’événements indésirables graves dans les trois mois qui ont suivi le lancement de son vaccin COVID. Le tableau des données concernant les femmes enceintes et allaitantes qui ont reçu les injections au cours des premiers mois du lancement, 270 « grossesses uniques » qui ont été exposées au vaccin, « aucune issue n’a été fournie pour 238 grossesses ». Il reste donc 32 grossesses dont l’issue est connue.

Le rapport de Pfizer indique qu’il y a eu 23 avortements spontanés (fausses couches), deux naissances prématurées avec décès néonatal, deux avortements spontanés avec décès intra-utérin, un avortement spontané avec décès néonatal et une grossesse à « issue normale ». Cela signifie que sur les 32 grossesses dont l’issue est connue, 28 ont abouti à une mort fœtale.

Alors quid de la “vaccination” orchestrée à grands renforts de propagande mensongère, en particulier de celle obligatoire des soignants et autres corporations, de celle des enfants et adolescents qui ne peut relever d’un consentement libre et éclairé mais de celui de leurs parents mal informés ?

Lorsque l’on sait EN PLUS qu’aujourd’hui elle ne protège ni de la maladie, ni de la transmission, ni même des formes graves puisque en Angleterre 88% des morts COVID sont vaccinés :

Sources :

https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/11/5.3.6-postmarketing-experience.pdf

https://www.profession-gendarme.com/la-justice-americaine-oblige-la-fda-a-divulguer-les-documents-pfizer-cest-explosif/

https://www.francesoir.fr/societe-sante/justice-americaine-fda-declassifier-donnees-vaccins

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/christine-cotton-essais-pfizer

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/essais-cliniques-pfizer-le-tableau-de-bord-de-christine-cotton

https://www.francesoir.fr/societe-sante/pfizer-gate-ventavia

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