Les décès d’enfants sont 44% plus élevés que la moyenne sur 5 ans depuis que le vaccin Covid-19 leur a été proposé, selon les données de l’ONS.
Article original THE EXPOSÉ LE 24 NOVEMBRE 2021
Les données officielles publiées par l’Office for National Statistics prouvent que les décès d’enfants ont augmenté de manière significative par rapport à la moyenne sur cinq ans depuis qu’on leur a proposé le vaccin Pfizer mRNA Covid-19.
Le 13 septembre 2021, le professeur Chris Whitty, médecin en chef pour l’Angleterre, a écrit au gouvernement britannique pour lui conseiller de proposer à tous les enfants de plus de 12 ans au moins une dose de l’injection Pfizer Covid-19.
Et ce, malgré le refus du Joint Committee on Vaccination and Immunisation (JCVI) qui a conclu que les avantages ne l’emportaient pas nécessairement sur les risques. Cette conclusion s’explique par le nombre négligeable d’enfants qui souffrent d’une maladie grave due au Covid-19, sans parler des décès, et par la possibilité réelle que des enfants souffrent d’une myocardite (inflammation du muscle cardiaque) en tant que réaction indésirable.
Pour la première fois dans l’histoire, le gouvernement britannique a choisi d’ignorer l’avis du JCVI et a opté pour la généralisation de l’injection de Covid-19 à tous les enfants de plus de 12 ans avec effet immédiat.
L’analyse suivante des données de l’Office for National Statistics (ONS) montre les conséquences de cette décision, jusqu’à présent…
L’ONS publie des chiffres hebdomadaires sur les décès en 2021 qui peuvent être consultés ici, et ils ont précédemment publié un ensemble de données sur les décès “2015-2019, Five-Year Average” qui peut être consulté ici.
Nous avons utilisé les chiffres de ces deux ensembles de données pour notre analyse, les deux peuvent être téléchargés afin que vous puissiez confirmer que nos chiffres sont corrects.
Télécharger l’ensemble de données 2021 sur les décès (jusqu’à la semaine 45)
Télécharger le jeu de données 2015 – 2019 sur les décès (moyenne sur 5 ans)
Le 13 septembre, jour où Chris Whitty a conseillé au gouvernement britannique de proposer le vaccin Covid aux enfants, est tombé dans la semaine 37 de 2021. Grâce aux plans déjà mis en place sur instruction du secrétaire à la santé Sajid Javid, le NHS était prêt à commencer à injecter les enfants avec effet immédiat, nous avons donc analysé tous les décès survenus à partir de la semaine 38.
Le graphique suivant montre le nombre de décès par semaine, entre la semaine 38 et la semaine 45, parmi tous les enfants âgés de 10 à 14 ans en Angleterre et au Pays de Galles, en 2021 et dans l’ensemble des données moyennes sur 5 ans 2015-2019.
Le nombre de décès chez les enfants âgés de 10 à 14 ans a été supérieur à la moyenne sur cinq ans chaque semaine depuis qu’une injection de Covid-19 leur a été proposée, à l’exception de la semaine 42. Le nombre le plus élevé de décès a été enregistré au cours de la semaine 40, avec 11 décès contre 4 pour la moyenne sur 5 ans. Cela représente une augmentation de 175% des décès au cours de la seule semaine 40.
Le graphique suivant montre le nombre cumulé de décès par semaine, entre la semaine 38 et la semaine 45, chez tous les enfants âgés de 10 à 14 ans en Angleterre et au Pays de Galles, en 2021 et dans l’ensemble de données 2015-2019 sur la moyenne quinquennale.
Entre la semaine 38 et la semaine 45 dans l’ensemble de données sur la moyenne quinquennale, un total de 41 décès chez les enfants âgés de 10 à 14 ans sont survenus. Mais au cours de la même période cette année, un total de 59 décès sont survenus chez des enfants. Cela représente une augmentation de 44% par rapport à la moyenne sur cinq ans depuis qu’une injection de Covid-19 leur a été proposée.
Il est clair que ces chiffres ne sont pas astronomiques, mais il y a une bonne raison à cela : les enfants ne meurent généralement pas. Il est donc d’autant plus inquiétant d’observer une augmentation significative du nombre de décès chez les enfants depuis qu’ils se sont vu proposer une injection de Covid-19.
Bien entendu, corrélation n’est pas synonyme de causalité, mais il semble qu’une montagne de coïncidences se forme en ce qui concerne les vaccins Covid-19. S’agit-il d’une coïncidence de plus, ou ces injections sont-elles à blâmer ?
La seule chose qui soit certaine, c’est que les autorités britanniques devraient enquêter de toute urgence sur les raisons pour lesquelles les décès d’enfants, d’enfants de sexe masculin et d’enfants de sexe féminin sont supérieurs de 44 %, 42 % et 47 % à la moyenne sur cinq ans depuis qu’ils ont reçu une injection de Covid-19.