Pass d’Adolf Hitler italien né le 1er janvier 1900 ?
La nouvelle est arrivée sur Tweeter avec un message du compte @lereveildatlas agrémenté d’un QR code avec des données très fantaisistes. Il s’agit en effet du pass sanitaire d’Aldof Hitler, né le 1er janvier 1900. On pourrait croire à une bonne blague. En passant le code à TousAntiCovid Verif, nous sommes bien en présence d’un QR code valide.
Des faux pass aussi vrais que les vrais
si le piratage était avéré, et tout laisse à le penser, cela poserait plusieurs problèmes, notamment en ce qui concerne la validité des pass sanitaires de dizaines de millions d’individus puisqu’il serait impossible de faire le tri entre les « vrais-vrais » et les « faux-vrais ».
Ces clés privées vont elles se retrouver dans la nature ou le pirate a-t’il juste voulu démontrer la faillibilité de ce système de contrôle ? Si c’est un « antipass », il y a des chances pour qu’on retrouve des « kits » assez rapidement et si c’est un pirate vénal, il tentera de monnayer sa découverte… On se pose encore la question du pass en lui-même puisque les autorités (police, douanes, etc.) disposent d’une appli TAC Verif plus détaillée que celle disponible pour le grand public. Les informations contenues dans ces faux pass vont-elles plus loin que la surface (nom, prénom, date de naissance).
En d’autres termes, un faux pass sanitaire créé avec ces clés volées permettra-t-il d’échapper à l’obligation d’être cobaye de Big Pharma sans se faire repérer par les radars de contrôle de Big Brother ?
Vulnérabilité d’un monde de corruption et de mensonge
Le Pass Sanitaire est l’outil technocratique d’un système tyrannique qui repose sur la terreur, la corruption, le mensonge afin d’obliger les gens dotés de bon sens de se plier malgré eux à cette folle expérimentation médicale mondiale à haut risque sanitaire sous prétexte d’enrayer l’épidémie Covid.
Le paradoxe dans ce monde dominé par la folie, englué dans le mensonge, la corruption est que le seul moyen pour une personne sensée de s’en préserver tranquillement pourrait bientôt ne plus être que l’usage d’un moyen maffieux.