Le marketing est une sorte de sociologie vénale, d’ethnologie de bazar dont le but est de savoir de quoi vous n’avez pas besoin et que l’on pourrait quand même vous vendre.
Philippe Meyer (animateur, écrivain, journaliste. 1947)
Les injections de substances pharmaceutiques vendus par les firmes pharmaceutiques et imposées par l’Etat comme « vaccins » sont en réalité encore en phase expérimentale 4.
Les études de phase 4 (post marketing) visent à évaluer les effets du médicament à long terme sur toute la population dans le cadre d’une utilisation habituelle par les prescripteurs médicaux. C’est le stade de la pharmacovigilance.
Les vaccins anti-covid Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen ont ainsi bénéficié d’une autorisation dérogatoire de mise sur le marché délivrée par l’Agence européenne des médicaments, bien qu’ils se trouvent encore au stade des essais cliniques de phase 3, mais à la condition de terminer ces essais. Ceux-ci s’achèveront le 27 octobre 2022 pour Moderna, le 14 février 2023 pour Astrazeneca, le 2 mai 2023 pour Pfizer. voir article
Qu’en est-il des phases expérimentales préliminaires ?
Ces injections sont vendus comme un produit de marketing, donc comme un produit nécessaire, le remède miraculeux indispensable pour enrayer la crise sanitaire mondiale. L’industrie pharmaceutique a réussi à convaincre de nombreux Etats à financer les recherches sur ce moyen miraculeux, et de délaisser ainsi les recherches sur d’autres propositions de traitement.
Il fallait pour cela rassurer et surtout cacher la moindre faille.
Un ancien employé du fabricant Pfizer révèle aujourd’hui que ces injections augmentent les risques de contagion du COVID de plus de 300%. Pfizer savait avant le lancement de la phase expérimentale 4, en janvier 2021 l’inefficacité de son remède pour enrayer l’épidémie, et qu’au contraire il multipliait par 3 les facteurs de contagion.
Or au bout de 9 mois de phase d’études 4, le constat d’inefficacité de ces injections pour enrayer l’épidémie est flagrant. De nombreux pays réorientent leur politique sanitaire. L’Etat français s’obstine dans une politique d’injections pour tous, sous forme de chantage à la liberté, (Pass) et de licenciement des non-vaccinés.
Jusqu’à quand ces mensonges ?